I me mine, carlos costa, pastel seco s/ papel, 50x70 cm, 1989.
sexta-feira, 31 de outubro de 2008
Sacsayhuaman.
quinta-feira, 30 de outubro de 2008
terça-feira, 28 de outubro de 2008
segunda-feira, 27 de outubro de 2008
I'd like to be under the sea...
domingo, 26 de outubro de 2008
sexta-feira, 24 de outubro de 2008
L' Azur.
S/ titulo, carlos costa, pastel seco e nanquim s/ papel , 20x30cm, 1986.
L' Azur.
De l'éternel azur la sereine ironie
Accable, belle indolemment comme les fleurs,
Le poëte impuissant qui maudit son génie
À travers un désert stérile de Douleurs.
Fuyant, les yeux fermés, je le sens qui regarde
Avec l'intensité d'un remords atterrant,
Mon âme vide. Où fuir? Et quelle nuit hagarde
Jeter, lambeaux, jeter sur ce mépris navrant?
Brouillards, montez! Versez vos cendres monotones
Avec de longs haillons de brume dans les cieux
Qui noiera le marais livide des automnes
Et bâtissez un grand plafond silencieux!
Et toi, sors des étangs léthéens et ramasse
En t'en venant la vase et les pâles roseaux,
Cher Ennui, pour boucher d'une main jamais lasse
Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux.
Encor! que sans répit les tristes cheminées
Fument, et que de suie une errante prison
Éteigne dans l'horreur de ses noires traînées
Le soleil se mourant jaunâtre à l'horizon!
- Le Ciel est mort. - Vers toi, j'accours! donne, ô matière,
L'oubli de l'Idéal cruel et du Péché
À ce martyr qui vient partager la litière
Où le bétail heureux des hommes est couché,
Car j'y veux, puisque enfin ma cervelle, vidée
Comme le pot de fard gisant au pied d'un mur,
N'a plus l'art d'attifer la sanglotante idée,
Lugubrement bâiller vers un trépas obscur...
En vain! l'Azur triomphe, et je l'entends qui chante
Dans les cloches. Mon âme, il se fait voix pour plus
Nous faire peur avec sa victoire méchante,
Et du métal vivant sort en bleus angelus!
Il roule par la brume, ancien et traverse
Ta native agonie ainsi qu'un glaive sûr;
Où fuir dans la révolte inutile et perverse?
Je suis hanté. L'Azur! l'Azur! l'Azur! l'Azur!
Justine.
“Há apenas três coisas que podem ser feitas com uma mulher”, afirmou Clea certa vez. Você pode amá-la, sofrer por ela ou transformá-la em literatura.” Eu fracassara em todas essas categorias de sentimento.
O Quarteto de Alexandria, tetralogia do escritor, poeta e dramaturgo inglês Lawrence Durrell, ( India, 1912 - Sommières, France, 1990 ), composta pelos livros, Justine (1957), Balthazar (1958), Mountolive (1958), e Clea (1960).
quarta-feira, 22 de outubro de 2008
domingo, 12 de outubro de 2008
It all comes to the same thing at the end.
Re-coin thyself and give it them to spend,---
It all comes to the same thing at the end,
Since mine thou wast, mine art and mine shalt be,
Faithful or faithless, scaling up the sum
Or lavish of my treasure, thou must come
Back to the heart's place here I keep for thee!...